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D
écouvrez
la
face
cachée
de
votre
personnalité
L’ Exubérant
la chaleur. L’Exubérant sera donc le plus chaleureux des hommes
car non seulement il est cordial (E
+
D
+
), c’est-à-dire qu’il s’implique
profondément dans l’environnement humain, mais il est également
disponible (C
+
O
+
), ce qui lui donne les moyens de servir autrui
efficacement . La bonté effective va rejoindre la bonté affective.
Et nous aboutissons à la générosité. Celle-ci risquera bien entendu
toujours d’être compliquée par l’avidité, généralement puissante chez
les Exubérants. Mais ici comme ailleurs, les Exubérants raisonnent
plus en termes de synthèse ou de cumul qu’en termes de sacrifice.
L’une des caractéristiques de l’Exubérant, dans sa vie relationnelle,
sera la recherche constante de situations de compromis (qui satis-
fassent tout le monde et qui ne lèsent personne). L’autre n’est plus
un ennemi, il devient l’un des paramètres à satisfaire.
3/ Les déboires d’un cœur trop grand
Déculpabilisant, réconfortant, simple et pas rancunier pour deux
sous, l’Exubérant est souvent l’un des êtres les plus agréables à
fréquenter, l’un des plus sympathiques. En sa présence on se sent
bien, on ne sait pas pourquoi, tout se passe comme s’il irradiait.
Évidemment, il connaît lui aussi les heures de tristesse, de boude-
rie ou de mauvaise humeur, mais par rapport à la moyenne des
hommes, il positive quatre-vingt-dix pour cent du temps. C’est là
un des fondements de sa réussite professionnelle, surtout quand
son métier est un métier de contacts. Il n’y aurait rien d’étonnant
à ce que l’Exubérant que vous connaissez personnellement soit
commercial ou directeur commercial. Tolérant (O
+
D
+
), accueillant
(E
+
D
+
), progressiste (C
+
O
+
), l’Exubérant est, de nos 16 types-jalons,
le plus ouvert aux autres, le plus gentil, le plus tolérant, le plus
serviable et le moins égoïste.
Le seul problème est qu’il a quelquefois de la peine à écouter (comme
tous les gens qui parlent bien et qui parlent beaucoup). En principe,
tout le monde devrait rechercher sa présence, or bien souvent c’est
exactement l’inverse qui se produit. Pourquoi ? Parce que tout
médicament à dose trop forte devient un poison ; parce que tout
