En dehors de ces plages, dévier systématiquement les
          
        
        
          
            appels vers une messagerie vocale (ou un autre numéro
          
        
        
          
            équipé d’un répondeur), que vous consulterez régulière-
          
        
        
          
            ment à distance. Cela vous permettra à l’occasion de
          
        
        
          
            faire un tri entre l’important et l’accessoire et surtout
          
        
        
          
            de grouper le traitement de vos appels.
          
        
        
          De même que la diététique n’est pas nécessairement
        
        
          incompatible avec la gastronomie, il y a aussi un bon
        
        
          usage du téléphone à maîtriser.
        
        
          Voici 5 bonnes habitudes :
        
        
          
            Chaque fois que c’est possible, utilisez le téléphone
          
        
        
          
            plutôt que de vous rendre quelque part. Le confort
          
        
        
          
            humain lié au tête-à-tête (préambules, postambules,
          
        
        
          
            etc.) n’est pas gratuit : il coûte énormément de temps.
          
        
        
          
            Quand on passe un coup de fil, on recentre en revanche
          
        
        
          
            plus rapidement sur l’essentiel, on est plus concis, plus
          
        
        
          
            rapide, plus productif. La seule exception concerne la
          
        
        
          
            résolution des conflits humains où la prise en compte
          
        
        
          
            de la gestuelle demeure irremplaçable. Ne ratez donc
          
        
        
          
            jamais une occasion de ne pas vous déplacer. Les habi-
          
        
        
          
            tants des grandes villes passent parfois des heures
          
        
        
          
            dans les embouteillages (ou dans des transports en
          
        
        
          
            commun inconfortables et bondés). C’est un temps
          
        
        
          
            précieux perdu pour le travail ou le bonheur, un temps
          
        
        
          
            facile à épargner.
          
        
        
          
            Chaque fois que c’est possible, essayez de vous
          
        
        
          
            concentrer sur votre travail précisément là où vous êtes
          
        
        
          
            (ou le plus près possible). Ne vous sentez pas obligé de
          
        
        
          
            vous rendre sur votre lieu de travail pour des raisons
          
        
        
          
            de principe ou de règlement : cela est complètement stu-
          
        
        
          
            pide. Utilisez en revanche au maximum votre téléphone,
          
        
        
          
            votre modem et votre fax.
          
        
        
          
            Au sein même de votre maison ou de votre bureau,
          
        
        
          
            téléphonez plutôt que de vous rendre dans la pièce
          
        
        
          L’art de perdre son temps
        
        
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