Offrir des perspectives d’évolution compatibles avec
la cohésion de l’équipe.
Il faut se souvenir par exemple que l’implication d'un
collaborateur ne dure que tant que l'entreprise lui offre
des possibilités d'évolution, mais que la cohésion
d’une équipe ne se maintient que lorsqu’il n’y a pas de
contrastes excessifs entre les récompenses individuelles.
Privilégier le relationnel et les synthèses sur l’analyse
des problèmes techniques et particuliers.
À la base prévalent : 1) La maîtrise de technicités précises,
2) La capacité d'initiative, 3) La capacité de travail.
À l’encadrement prévalent : 1) L'ouverture, 2) L'esprit de
synthèse, 3) Les qualités relationnelles.
Avoir un comportement flexible. Se comporter en
dictateur en phase de crise, en facilitateur tolérant
autrement.
Garder son calme en toutes circonstances. Éviter en
particulier de se mettre en colère.
La colère est un cri d’incompétence et de fragilité. C’est le
métier même du manager que de savoir rester cool,
disponible et réceptif au cœur de l’incendie.
Ne jamais manifester son découragement de manière
ostensible.
Le chef d’équipe, comme un chef d’orchestre, est celui
qui donne le la. Si, au premier incident (inévitable dans
une entreprise privée), il panique, on peut être assuré
que toute son entreprise va suivre, et que ça risque fort
alors de devenir l’accident.
Mais bien évidemment, tous ces conseils ne valent que
pour autant que vous soyez déterminé à motiver vos
collaborateurs et à faire prospérer votre entreprise. Si
votre dessein secret est au contraire d’en saper les fonda-
tions, il est alors utile de retenir ces quelques astuces :
et de saborder son entreprise
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